Ce devait être le retour de l'été, des grosses chaleurs... Que nenni! Hier fut nuageux, à peine chaud, un poil frais! Aujourd'hui il pleut des cordes et je me demande si je ne vais pas faire du feu! Le ciel est bouché, la mer grise. Le chat ronfle, la pelouse pousse comme les mauvaises herbes, la mare se remplit et les crapauds nés des grandes fornications du printemps font le tour de la maison nuitamment sans se préoccuper des chats qui guettent les croquettes de ma chatte. Le jeu de ces voleurs consiste à se précipiter dans la maison dès que j'ouvre la porte-fenêtre et à engloutir goulûment les restes de pâtés desséchés, les graines humides qui moisissent dans le ramequin! N'ont pas d'honneur ces chats pourtant grassouillets mais insatiables, Lili les ignore la plupart du temps, grogne un peu mais en vain. Heureusement l'automne est là et je n'ouvre plus que pour aérer.
Voici donc un petit billet primesautier loin des fureurs du monde car google m'a prévenue, je suis restée absente trop longtemps sur ce blog et il me menace de fermeture! Le risque est trop grand!
Je me remets au travail prochainement concernant les vies d'Emile, mon grand-père (prénom actuellement revenu à la mode, joie) ...