Je ne sais pas vous, mais moi j'adore les vendredis matins quand je peux lire peinarde Le Monde littéraire. A toutes fins utiles, je rappelle aux Parisiens qu'en province, on ne touche le monde que 24h après qu'il ait été distribué à Paname!!! Et encore faut-il encore qu'il arrive dans nos boîtes en temps et en heure. Il n'empêche, nous avons une semaine afin de le déguster comme un bonbon....
Les six pages donnent envie de tout lire, de tout acheter (ou presque) et le sentiment de posséder déjà le livre entre ses mains.
Je lis le Monde littéraire depuis 40 ans, au bas mot... Existait-il alors? Je n'en sais rien mais j'en ai bien l'impression! Certes, je lui ai fait quelques infidélités avec Libération Livres qui avait le bon goût de sortir le jeudi mais jamais avec le Figaro!
En bref, cette lecture hebdomadaire, avant de me précipiter dans les librairies, (si il en reste encore) m'émeut.
Tout comme la lecture du Ouest-France parfois, et surtout ce matin, à lire le récit du concours de ma thèse en 180 secondes quand je découvre cet interview :" le jour où j'ai annoncé à mémé que je faisais un doctorat en littérature, elle m'a regardée comme si j'étais un allien. et quelques minutes après, elle m'a posé la question qui tue: à quoi ça sert?" (Camille Kerboal, de Brest, lauréate de celui de Bretagne-Pays de Loire.
Il y a des jours comme ça, où l'on se sent pleine d'empathie et de bienveillance pour des trucs tout cons!
Par contre pas d'empathie pour le tour de Bretagne, en vélo, qui avait pris Fouesnant en otage de 15h à 16h: sortant de la piscine, sans homme (ils étaient tous à la course cycliste) je me suis retrouvée piégée dans la ville, sans pouvoir échapper! Toutes les rues étaient barrées, aucune personne responsable, ni les gendarmes goguenards, ni la bénévole le drapeau à la main. J'ai râlé pour le principe et renoncé à forcer le barrage quand le chauffeur de taxi a patiemment attendu que le dernier drogué (l'était-il pour passer en dernier?) grimpe la foutue côte de Cap Coz! J'ai pris un livre et attendu en jetant un coup d'oeil sur les jolis culs en danseuse moulés dans des tenues de toutes les couleurs!
Par contre pas d'empathie pour le tour de Bretagne, en vélo, qui avait pris Fouesnant en otage de 15h à 16h: sortant de la piscine, sans homme (ils étaient tous à la course cycliste) je me suis retrouvée piégée dans la ville, sans pouvoir échapper! Toutes les rues étaient barrées, aucune personne responsable, ni les gendarmes goguenards, ni la bénévole le drapeau à la main. J'ai râlé pour le principe et renoncé à forcer le barrage quand le chauffeur de taxi a patiemment attendu que le dernier drogué (l'était-il pour passer en dernier?) grimpe la foutue côte de Cap Coz! J'ai pris un livre et attendu en jetant un coup d'oeil sur les jolis culs en danseuse moulés dans des tenues de toutes les couleurs!
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