Je n'irai plus voir des pièces de théâtre, 25 euros minimum pour m'empafer honteusement les cinq premières minutes, je ne peux plus, ça fait cher le ronflement! Les liaisons dangereuses m'ont définitivement fâchée avec le théâtre!
J'avais pourtant pris toutes les précautions qui s'imposent: pas de vin (enfin juste un petit ballon de Corbières pendant le dîner), pas de sport, une longue sieste d'une heure en début d'après-midi, des vêtements doux et confortables, l'envie de voir Dominique Blanc (découverte dans Milou en Mai de Louis Malle), Vincent Perez (idéal jeune premier, Alain Deloin), un texte réputé (certes réécrit) et une scène nationale!
Bis repetita!
Sciatique sur l'inconfort des fauteuils, qui après une heure et demie, font un mal de chien à la fesse, durablement!
Bâillements irrépressibles sur la fin.
Et comme si cela ne suffit pas un décor minimaliste utilisé à son maximum, montage de marches, descentes, portes qui ouvrent, qui se ferment, je pensais qu'il n'y avait que le cinéma français pour exceller dans les travelling infinis sur vide sidéral.
Ajouter le souci de bien nous faire comprendre, quitte à se répéter, que l'histoire finit mal, très!
Je n'avais qu'une envie que le spectacle cesse et que les applaudissements (modeste standing ovation) ne durent pas trop longtemps... Je n'avais personnellement aucune intention de me lever malgré les tonnes de postillons éructés par Valmont (aka Perez)!
Enfin, je dois probablement être très cruche, mais je n'ai vu et entendu aucune modernité du texte! La femme est une pétasse ou une pute ou une mégère nymphomane punie par la petite vérole, ou une prude qui préfère mourir que vivre. Les hommes veules et versatiles, uniquement préoccupés par leur bite, les niquent et pourrissent leur réputation! Dites moi si je me trompe!
Je préfère de très loin l'inconfort des petites salles parisiennes qui présentent des comédies bien troussées ou l'absurde des pièces de Ionesco jouées à la Huchette d'une durée tout à fait raisonnable (pas plus d'une heure)!
Cependant, les acteurs sont excellents, je dois bien le reconnaître, magnifique Dominique Blanc qui sert une langue riche et panache d'un Vincent Pérez qui renoue avec le théâtre.
Pour une critique positive, lire ici.
Enfin, je dois probablement être très cruche, mais je n'ai vu et entendu aucune modernité du texte! La femme est une pétasse ou une pute ou une mégère nymphomane punie par la petite vérole, ou une prude qui préfère mourir que vivre. Les hommes veules et versatiles, uniquement préoccupés par leur bite, les niquent et pourrissent leur réputation! Dites moi si je me trompe!
Je préfère de très loin l'inconfort des petites salles parisiennes qui présentent des comédies bien troussées ou l'absurde des pièces de Ionesco jouées à la Huchette d'une durée tout à fait raisonnable (pas plus d'une heure)!
Cependant, les acteurs sont excellents, je dois bien le reconnaître, magnifique Dominique Blanc qui sert une langue riche et panache d'un Vincent Pérez qui renoue avec le théâtre.
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