On ne me l'avait pas dit mais l'Ecosse est bien le paradis des bêtes sauvages, (pas celui des ours), mais des saumons, dauphins et tutti quanti!
Je m'attends, d'un moment à l'autre, à tomber nez à nez avec une loutre, il paraît que c'est possible. Pour le moment, je suis ravie d'avoir pu voir des saumons sauvages remonter le torrent, (ils existent encore), ravie également d'avoir pu admirer un troupeau (au moins une centaine) de dauphins jouant dans l'écume de l'étrave du bateau qui nous emmenait sur l'île Lewis. Virgules noires écrêtant la mer, rapides, en bande ou seules, les bestioles filaient sans trop se préoccuper du navire.
D'un paysage à l'autre, la végétation peut être réduite à sa plus simple expression, de l'herbe, ou peut être luxuriante, très identique à celle de la Bretagne en plus majestueuse: rhododendrons immenses, grasses grésilines, hortensias, palmiers, potagers ratissés, soignés, où les légumes tutoient les fleurs, pelouse à se damner, art maîtrisé du salon de jardin, forêts nettoyées, majestueuses, bas côtés fleuris. Les verts y sont dans toutes les gammes!
Il semble qu'il n'y ait rien à gâcher le paysage, même les cabanons en tôle rouillés sont charmants, c'est dire!
Alors oui, le temps reste incertain, les promesses de pluie souvent tenues mais parfois non... Depuis mercredi, nous avons séché, on peut bien se reprendre une petite douche, mais cette fois-ci je sors mon parapluie!
C'est un peu chez moi |
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