J'hésite entre rester muette et écrire ce qui m'étreint, submergée par l'émotion!
Ces personnes assassinées auraient pu être mes enfants, si heureux de "boire des coups" en terrasse à refaire le monde, un soir de douceur sur Paris, dans l'insouciance de leur jeunesse.
Cette image en moi est prégnante depuis vendredi, tant j'aime musarder dans ce quartier, de la joie qu'il y a, à être entre amis ou tout simplement à partager notre douceur de vivre, ensemble.
Faisons barrage à la barbarie.
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