Un billet à la con, qui occupe quand je n'ai rien à dire, avec des bêtes dedans….
Temps frais, vent de tempête, pluie intermittente n'incitent pas vraiment au jardinage. Il fait un froid de gueux (pour la saison et par contraste)! Ces conditions météorologiques font pourtant le bonheur des bêtes qui peuvent planquer dans le fouillis des buissons.
Ainsi donc une biche vadrouille dans mon jardin, mine de rien, elle broute ou va boire au bar de la mare! Pas vraiment farouche la bestiole!
Les chevreuils sont foison sur la presqu'île où j'habite, ils voisinent avec les renards. Cependant, il est rare de les voir si près des humains, en général, ils élisent domicile dans les jardins où personne ne vit, occupés l'été en août par quelques héritiers qui n'ont plus rien à cirer de la bicoque bretonne. Ces derniers n'entretiennent plus le jardin laissant la luxuriance végétale se développer pour le plus grand bonheur de la faune!
Hormis la biche, il semblerait qu'une laie et ses petits fassent également bombance ces temps derniers en fouissant de leur groin ma pelouse, à moins que ça ne soit un loir ou un putois. Hier matin, l'herbe était toute retournée, mottes de terres sèches en l'air, laissant béant d'énormes trous.
Et pour dernière réjouissance, mes vitres étant trop propres (le réveil de Bree Van de Kamp qui est en moi sans doute), un couple de martins-pêcheurs est venu s'exploser contre elles. Comme dit mon copain, "ils sont partis ensemble" si tant est qu'ils aient conscience d'avoir formé un couple. Paix à leur âme (quoique), je les ai délicatement posés sur le rebord de la mare, encore chauds, une heure après les cadavres avaient disparu!
Un chat, celui qui rode et fait peur à mes volatiles préférés ou un autre bouffeur de maccabées les a liquidés?
Il n'y a que les poissons rouges qui, pour le moment, vivent peinardement, mais je crains pour eux, depuis quelques temps une aigrette prend le temps de se reposer sur le petit pont de fer!
Quant à cette superbe grenouille, elle a disparu avec les premiers froids mais j'ai adoré l'entendre croasser tout l'été!
Hormis la biche, il semblerait qu'une laie et ses petits fassent également bombance ces temps derniers en fouissant de leur groin ma pelouse, à moins que ça ne soit un loir ou un putois. Hier matin, l'herbe était toute retournée, mottes de terres sèches en l'air, laissant béant d'énormes trous.
Et pour dernière réjouissance, mes vitres étant trop propres (le réveil de Bree Van de Kamp qui est en moi sans doute), un couple de martins-pêcheurs est venu s'exploser contre elles. Comme dit mon copain, "ils sont partis ensemble" si tant est qu'ils aient conscience d'avoir formé un couple. Paix à leur âme (quoique), je les ai délicatement posés sur le rebord de la mare, encore chauds, une heure après les cadavres avaient disparu!
Un chat, celui qui rode et fait peur à mes volatiles préférés ou un autre bouffeur de maccabées les a liquidés?
Il n'y a que les poissons rouges qui, pour le moment, vivent peinardement, mais je crains pour eux, depuis quelques temps une aigrette prend le temps de se reposer sur le petit pont de fer!
Quant à cette superbe grenouille, elle a disparu avec les premiers froids mais j'ai adoré l'entendre croasser tout l'été!
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