Il n'est pas rare que le Breton (récent) ait une baraque face à la mer! Les ancêtres se calfeutraient dans leurs crèches à cochons ; couvertes de chaume, loin derrière le trait de côte, les maisons offraient au vent, leur pignon et de petites ouvertures.
Le touriste, lui, a préféré le large, la vue, la plage où on peut se baigner en bas de chez soi! Au début du XXème siècle, il a bâti des remparts de pierre pour arrêter la mer, faire face au vent, il a édifié des murs, des jetées mais il pouvait aux beaux jours descendre directement sur la plage de son échelle de fer ou du petit escalier privé. Il gagnait alors sa cabine en bois pour retrouver son transat.
Au XXIème siècle, le Breton édifie des baies vitrées, des terrasses, et croise les doigts en espérant que le réchauffement climatique ne concernera que les générations futures lorsque lui peinard, bouffera les pissenlits par la racine.
Le Breton, donc, par tempête, couche dans son garage, voir dans son placard!
Mieux qu'un mec, le chat est doux, se laisse caresser, ronronne sous le crincrin des ongles, tient chaud, vit sa vie, peinard, du moment qu'on lui laisse un peu à manger, qu'il peut chasser la souris pour le plaisir de l'exploit sportif. Il ne parle pas, mais tient chaud la nuit! Bref! Le chat, que du bonheur!
Dites-moi, cela sent (cruellement) l'ironie ou je ma trompe ?...
RépondreSupprimerDimanche ensoleillé chez les druides et mon plancher résiste à l'inondation puisque je vis en retrait des points d'eau !
" les deux mon neveu" !!!!
RépondreSupprimerDu vécu ....
Où l'on redécouvre les vertus du lit clos breton, traditionnel. Le chat à l'air bien gras, un ingrédient idéal pour la potée de famine, traditionnelle également en pays breton.
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