Incapable de procéder à une analyse poussée et hautement intelligente des spectacles et des films vus ces derniers temps (ouah comme je me la pète), j'ai compris à lire Caroline (il m'en a fallu du temps pour comprendre ses #j'aime) qu'il suffisait d'inaugurer le pot pourri culturel, afin d'en faire un peu de publicité et dire à quel point je m'étais régalée.
J'ai donc assisté à la naissance d'une diva du jazz: Cécile McLorin Salvant, une voix sublime, capable d'habiter l'espace sans micro, une présence réelle près des musiciens du trio Ariel Diehl Trio (contrebasse, piano et batterie). Son répertoire est d'une richesse incroyable: le mal de vivre de Barbara, Michel Legrand, du blues, etc....A 25 ans, un tel talent laisse rêveur et prometteur.
J'ai donc assisté à la naissance d'une diva du jazz: Cécile McLorin Salvant, une voix sublime, capable d'habiter l'espace sans micro, une présence réelle près des musiciens du trio Ariel Diehl Trio (contrebasse, piano et batterie). Son répertoire est d'une richesse incroyable: le mal de vivre de Barbara, Michel Legrand, du blues, etc....A 25 ans, un tel talent laisse rêveur et prometteur.
Carol, tiré d'un roman de Patricia Highsmith (Calman-Lévy), est un film qui offre une remarquable reconstitution des années 50, une magnifique histoire d'amour entre deux femmes fortes, droites et fières. La conclusion à laquelle aboutit Carol est terrible mais hautement estimable, pour l'amour de sa fille, dont elle est privée par son mari et dont elle ne peut conserver la garde compte tenu de ses orientations sexuelles. Je suis sortie en me disant que les hommes étaient veules, mot qui a mis en joie mon professeur de gym. Depuis, il le prononce à l'envi, ri tout seul à son évocation. Etrange pouvoir des mots!
Ce film est aussi l'histoire d'une émancipation, celle des femmes: Carol, Thérèse et l'amie de Carol déjà très indépendante et libre.
Les 8 salopards. J'ai largement préféré Django, mais ne boudons pas notre plaisir! On y retrouve les fondements de Tarentino, l'hémoglobine, les dialogues à n'en plus finir, des décors à se damner surtout la montagne dans le Wyoming, des gueules, des trognes, des sales types, de la violence, de la rouerie .... mais je m'en demande l'utilité? Django dénonçait l'esclavage, ici, le racisme ? On a quand même un peu de mal à y croire, hélas ...J'ai dormi, pourtant il n'était pas tard puisque nous avions pris soin d'y aller en fin d'après midi. Au réveil, après un court roupillon, je n'ai vraiment pas eu l'impression d'avoir loupé grand chose, signe probable de la vacuité du récit!
La mer. Au final, admirer la mer déchaînée sous les trombes de flotte, c'est bien aussi! L'actrice principale ne déçoit jamais, son jeu touche tous les extrêmes, Il est de bon ton de lire en même temps, voire même de dormir.
Ps: je ne m'explique pas les changements de police et de taille de police!
Les 8 salopards. J'ai largement préféré Django, mais ne boudons pas notre plaisir! On y retrouve les fondements de Tarentino, l'hémoglobine, les dialogues à n'en plus finir, des décors à se damner surtout la montagne dans le Wyoming, des gueules, des trognes, des sales types, de la violence, de la rouerie .... mais je m'en demande l'utilité? Django dénonçait l'esclavage, ici, le racisme ? On a quand même un peu de mal à y croire, hélas ...J'ai dormi, pourtant il n'était pas tard puisque nous avions pris soin d'y aller en fin d'après midi. Au réveil, après un court roupillon, je n'ai vraiment pas eu l'impression d'avoir loupé grand chose, signe probable de la vacuité du récit!
La mer. Au final, admirer la mer déchaînée sous les trombes de flotte, c'est bien aussi! L'actrice principale ne déçoit jamais, son jeu touche tous les extrêmes, Il est de bon ton de lire en même temps, voire même de dormir.
Ps: je ne m'explique pas les changements de police et de taille de police!
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