Hier soir, j'ai emmené l'ado (de moins en moins rebelle) au MET, entendez au nouveau cinoche de Quimper, Cinéville, afin de voir en direct le bel Roberto Alagna interprêter le jeune guerrier Radamès, malheureux puisqu'aimé par la fille du pharaon Amnéris et Aïda la belle esclave éthiopienne.
J'aime Verdi, j'aime l'opéra lorsqu'il offre de grands mouvements de foule, des décors à couper le souffle, des choeurs qui prennent aux tripes.
Certes, le ciné n'a pas la chaleur d'un vrai opéra, je n'ai connu que celui de Palerme où nous avons cru mourir de chaud dans les loges, pour une représentation d'Il Tratore de Verdi, avec gitans, capes et épées. Au cinéville, il s'agit pour nous, pauvres provinciaux de goûter aux plaisirs des riches, loin de leur regard, pour quelques euros. La salle était pleine, 246 adeptes du concept, on est bien assis, l'écran a la bonne taille puisque l'intérêt de ces retransmissions est de voir au plus près les expressions des chanteurs.
Quels coffres!
Certes, le ciné n'a pas la chaleur d'un vrai opéra, je n'ai connu que celui de Palerme où nous avons cru mourir de chaud dans les loges, pour une représentation d'Il Tratore de Verdi, avec gitans, capes et épées. Au cinéville, il s'agit pour nous, pauvres provinciaux de goûter aux plaisirs des riches, loin de leur regard, pour quelques euros. La salle était pleine, 246 adeptes du concept, on est bien assis, l'écran a la bonne taille puisque l'intérêt de ces retransmissions est de voir au plus près les expressions des chanteurs.
Quels coffres!
L'ado a adoré.
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