Je n'aime ni sa voix, ni la façon dont elle s'exprime à la radio, cependant, j'ai toujours pensé qu'elle faisait des émissions percutantes et intéressantes, sans avoir au final envie de les écouter pour les raisons citées. Après avoir lu, Boris Cyrulnik, je me suis dit, Schneck pourquoi pas, au point où j'en suis ...
Pas déçue au final, car le livre est plutôt bien écrit, par l'auteure elle-même. Il présente l'intérêt de nous donner le point de vue des enfants d'enfants cachés ayant survécu à la Shoah, ceux de la troisième génération. La réflexion est intéressante, puisqu'elle montre qu'en terme de psychanalyse, le poids du passé est très important, ne se réduit pas à l'impact de la famille réduite aux parents mais aussi aux grands-parents et arrière grands-parents. Si si .... pour preuve, l'histoire de Colombe et de sa fille Salomé.
Pas déçue au final, car le livre est plutôt bien écrit, par l'auteure elle-même. Il présente l'intérêt de nous donner le point de vue des enfants d'enfants cachés ayant survécu à la Shoah, ceux de la troisième génération. La réflexion est intéressante, puisqu'elle montre qu'en terme de psychanalyse, le poids du passé est très important, ne se réduit pas à l'impact de la famille réduite aux parents mais aussi aux grands-parents et arrière grands-parents. Si si .... pour preuve, l'histoire de Colombe et de sa fille Salomé.
La famille de sa mère, Hélène, est originaire de Lituanie, une partie d'entre elle fut anéantie pendant la seconde guerre mondiale, notamment l'arrière-grand-mère de Colombe avec ses deux petits enfants, Salomé et Kalman. L'auteure enquête auprès de sa grand-mère toujours vivante ainsi qu'auprès de ses oncles, tantes et cousines. Ces vivants ont profité du rabe que la vie leur offrait et ce qu'ils ont transmis est un appel à profiter des plaisirs de l'existence: "profite de chaque moment de ta vie, apprends à bien vivre".
C'est intelligemment construit mais comme pour l'ouvrage de Cyrulnik parfois répétitif. Il est étonnant que l'auteure, qui se rend en Israël et à Ramalha, se soit crue obligée de glisser quelques mots sur tout le mal qu'elle pense des colonies, du mur et des exactions contre les Palestiniens dont se rend coupable l'armée. C'est un peu hors sujet...
C'est intelligemment construit mais comme pour l'ouvrage de Cyrulnik parfois répétitif. Il est étonnant que l'auteure, qui se rend en Israël et à Ramalha, se soit crue obligée de glisser quelques mots sur tout le mal qu'elle pense des colonies, du mur et des exactions contre les Palestiniens dont se rend coupable l'armée. C'est un peu hors sujet...
attention...depuis que tu as visité Israël, tu occultes ou critiques systématiquement ce qui a trait aux Palestiens ou à la politique d'Israël envers les Palestiniens ou aux discours, écrits, reportages etc concernant ce sujet.
RépondreSupprimerJe n'avais pas remarqué ...
RépondreSupprimer