Maintenir un blog quand on n'est ni modeuse, ni cuisinière hors pair (même si pro du bung cooking), ni influenceuse, ni exilée dans une contrée exotique, ni geek, à la vie privée certes exaltante mais secrète, ni parisienne mais provinciale dans ce qu'il y a de plus plouc (du moins considéré comme tel, le Finistère), ni écrivaine, ni féministe au point de traquer systématiquement toute atteinte à nous (les femmes), ni gravement perturbée, n'est pas une mince affaire.
En fait n'être que ni-ni ne contribue guère à augmenter les statistiques..
Mon travail, que d'aucuns auront sûrement découvert au fil des quelques posts politiquement incorrects, ne suscite que peu de billets d'humeur. Il s'agit de me protéger.
Sachez que j'ai toujours mal au pied, sur le dessus, ce qui commence à m'inquiéter. Je fais "genre, ça va passer tout seul" et je regarde la légère blessure du haut de mon mètre soixante, mais franchement, je ne peux toujours pas mettre n'importe quelle chaussure, je ne peux pas exercer de pression et je redoute que mon prof de gym qui arpente la salle de cours, ne me marche sur les panards!
Je me donne encore quelques jours avant de me pencher réellement avec une loupe sur la croûte! Une radio serait sans doute plus appropriée mais j'ai la trouille d'être immobilisée.
Afin d'illustrer ce billet sans vraiment de fil conducteur, une photographie du soleil levant le matin au travail et une lotte sympathique sur l'étal du poissonnier, ce matin, pendant le marché, un des plus grands de Bretagne Sud!
belle lotte, en effet. C'est beau dommage que les poissonniers coupent la sorte de canne à pêche que les lottes ont sur le front et qui leur permet de balancer un leurre, style petit alevin frétillant, pour attirer leurs proies dans leur gueule. Je n'ai vu ça que sur des livres et aussi à la criée de Moraira (criée où Joël Rebuchon a traîné, je l'ai vu hier, de mes yeux, dans un documentaire des plus sérieux). Et ça m'a bien intéressé !! Voilà, you are welcome.
RépondreSupprimer